On a écrit tellement de livres là dessus que cela devient presque impossible de se positionner pour l'un ou l'autre camp. Dans ce genre de débat, c'est soit tout ou rien : soit la femme a des responsabilités partout. Elle enseigne, elle fait la louange, s'occupe des enfants, ou soit elle ne fait et s'occupe essentiellement des enseignements des enfants (Malheureusement, c'est encore un cliché de voir les femmes à l'école du dimanche et les hommes s'occupent du culte).
Y a-t-il des tâches plus féminines ou masculines dans l'église ? Je ne pense pas. Je pense que Dieu appelle des hommes et des femmes dans différents ministères et même si l'homme est responsable de la famille et la femme de l'éducation enfantine, cela ne veut en rien dire que la famille doit être récupéré en tant que modèle ecclésiastique.
En même temps, les églises où les femmes sont pasteurs sont quasi inexistantes et très peu peuplées d'un public féminin, la rumeur évoquant l'idée qu'une femme étant pasteur dans l'église a du mal à s'entendre avec les autres femmes de l'église. C'est un fait , pas une opinion!
Que l'on soit pour ou contre le ministère féminin : on est en accord sur un point : le rôle d'une femme pasteur dirigeant une église locale est encore très peu appréciée. La plupart des églises en Belgique où les femmes sont pasteurs sont pour la plupart accompagnés d'un pasteur ( EPUB bruxelles Musée, EPUB Bruxelles « champ de Mars,...).
Quel clé donc ? Cet article a pour but de casser les clichés mais aussi de montrer les limites du ministère de la femme. Evidemment, cet article, comme tout les autres publié sur breeze n'implique que moi et je serai ravi d'interagir avec vous sur le sujet.
Header: Nienke Thomas
